Citations, textes

que j'aime particulièrement...

 


J'aime beaucoup les citations, les idées qu'elles véhiculent, elles traversent le temps, les époques, les modes, mon âme, ...

  • "Ce n'est pas parce que ça ne se voit pas...qu'il n'y a pas. On ne voit pas le vent, on ne voit pas l'électricité, on ne voit pas la foie, ...et pourtant ça existe, c'est là !" Virginie Communal
  • "Il est un mystère qu'il faut vivre, et non un problème à résoudre." Ghandi
  • "Le meilleur manière de prédire le futur est de le créer." Abraham Lincoln
  • "Sois le changement que tu eux voir dans le monde." Ghandi
  • "La vérité se manifeste dans la simplicité".

Citations en photos


La course de grenouilles,

tout en haut de la cime.

Il était une fois une course de grenouilles. L’objectif était d’arriver en haut de la cîme.
Beaucoup de gens se rassemblèrent pour les voir et les soutenir.  La course commença...
En fait, les gens ne croyaient pas possible que les grenouilles puissent atteindre la cime, et toutes les phrases que l’on entendit furent de ce genre :


"Quelle peine !!!
Elles n’y arriveront jamais !"


Les grenouilles commencèrent à se résigner, sauf une qui continua de grimper avec fougue et enthousiasme et les gens continuaient :


"... Quelle peine !!! Elles n’y arriveront jamais !..."


Et les grenouilles s’avouèrent vaincues, sauf toujours la même grenouille qui continuait à insister.


A la fin, toutes se désistèrent, sauf cette grenouille qui, seule et avec un énorme effort, atteignait le haut de la cime.

 

Les autres voulurent savoir comment elle avait fait.


L’une d’entre elles s’approcha pour lui demander comment elle avait fait pour terminer l’épreuve.


Et découvrit qu’elle... était sourde !

La morale de cette histoire : N’écoutez pas les personnes qui ont la mauvaise habitude d’être négatives... car elles volent les meilleurs espoirs de votre coeur.
Rappelez-vous pour toujours, du pouvoir qu’ont les mots que vous dites, entendez ou lisez.

 

Texte : inconnu - Découvert en 2005


Un petit texte à méditer pour changer...

L'âne et le fermier

Un jour, l'âne d'un fermier est tombé dans un puits.
L'animal gémissait pitoyablement pendant des heures, et le fermier se demandait quoi faire.
Finalement, il a décidé que l'animal était vieux et que le puits devait disparaître de toute façon, ce n'était pas rentable pour lui de récupérer l'âne.
Il a invité tous ses voisins à venir et à l'aider.
Ils ont tous saisi une pelle et ont commencé à enterrer l'âne dans le puits.

Au début, l'âne a réalisé ce qui se produisait et se mit à crier terriblement.
Puis à la stupéfaction de chacun, il s'est tu.

Quelques pelletées plus tard, le fermier a finalement regardé dans le fond du puit et a été étonné de ce qu'il a vu. Avec chaque pelletée de terre qui tombait sur  lui, l' âne faisait quelque chose de stupéfiant. Il se secouait pour enlever la terre de son dos et montait dessus.

Pendant que les voisins du fermier continuaient à  pelleter sur l'animal, il se secouait et montait dessus.

Bientôt, chacun a été stupéfié que l'âne soit hors du puit et se mit à trotter !

La vie va essayer de t'engloutir de toutes sortes d'ordures.

Le truc pour se sortir du trou est de se secouer pour avancer.

Chacun de tes ennuis est une pierre qui permet de progresser.

Nous pouvons sortir des puits les plus profonds en n'arrêtant jamais.
Il ne faut jamais abandonner ! Secoue-toi et fonce !


Auteur Inconnu - Trouvé le 22/01/2014


La carotte, l'oeuf et le café

Une jeune femme va chez sa mère et lui dit que sa vie est tellement difficile qu'elle ne sait pas si elle peut continuer.

Elle veut abandonner, elle est fatiguée de se battre tout le temps. Il semble qu'aussitôt qu'un problème est réglé, un autre apparaît.


Sa mère l'amena dans la cuisine. Elle remplit trois chaudrons d'eau et les place chacun sur la cuisinière à feu élevé. Bientôt, l'eau commence à bouillir.


Dans le premier chaudron, elle place des carottes, dans le deuxième, elle met des oeufs et dans le troisième, elle met des grains de café moulus.

Elle les laisse bouillir sur le feu sans dire un mot. Après 20 minutes, elle retourne à la cuisinière.


Elle sort les carottes et les place dans un bol.

Elle sort les oeufs et les place dans un bol.

Puis, elle verse le café dans une carafe.


Se tournant vers sa fille, elle dit : "Dis-moi, que vois-tu?"

"Des carottes, des oeufs et du café", répondit sa fille.

La femme l'amena plus près et lui demanda de toucher les carottes. La fille leur toucha et nota qu'elles étaient toutes molles et souples.

La mère lui demanda alors de prendre un oeuf et de le briser. La fille enleva la coquille d'un oeuf et observa qu'il était cuit dur.

Finalement, la mère lui demande de goûter au café. La fille sourit comme elle goûtait son arôme riche.

La fille demanda alors, "Qu'est-ce que ça veut dire maman?" Sa mère lui expliqua que chaque objet avait fait face à la même eau bouillante, mais que chacun avait réagit différemment.


La carotte y est entrée forte, dure et solide. Mais après être passée dans l'eau bouillante, elle a ramolli et est devenue faible.

L'oeuf était fragile avec l'intérieur fluide. Mais après être passé dans l'eau bouillante, son intérieur est devenu dur.

Quant aux grains de café, eux, ont réagi de façon unique. Après avoir été dans l'eau bouillante, ils ont changé l'eau.

"Lequel es-tu?", demanda la mère à sa fille.

"Lorsque l'adversité frappe à ta porte, comment réponds-tu ?


Es-tu une carotte, un oeuf ou un grain de café?" Penses-y ?

Suis-je la carotte qui semble forte, mais qui dans la douleur et l'adversité devient molle et perd sa force ?

Suis-je un oeuf qui commence avec un coeur malléable, mais change avec les problèmes? Ai-je un esprit fluide qui devient dur et inflexible dans la douleur ? Est-ce que ma coquille ne change pas, mais mon intérieur devient encore plus dur ?

Ou suis-je comme un grain de café ? Le grain change l'eau, il change la source de sa douleur. Lorsque l'eau devient chaude, il relâche sa fragrance et sa saveur. Si tu es comme un grain de café, tu deviens meilleure et change la situation autour de toi lorsque les choses en sont à leur pire.

Comment faites-vous face à l'adversité ? Comme une carotte, un oeuf ou un grain de café ?


Source inconnue - Trouvé le 07/12/14


J'étais pressée...

J'arrivai dans la cuisine en toute hâte, vêtue de mon plus beau tailleur, préoccupée de me préparer pour une réunion en soirée.

Gillian, ma fille de quatre ans, dansait en écoutant une vieille chanson qu'elle aime beaucoup : Cool, la chanson titre du film West Side Story.


J'étais pressée, presque en retard. Pourtant, une petite voix intérieure me disait «Arrête-toi».


Je m'arrêtai donc. Je la regardai. Puis je lui pris la main et la fis tourner. Ma fille de sept ans, Caitlin, se joignit à nous et je la pris par la main elle aussi. Toutes les trois, nous fîmes quelques pas de boogie-woogie à travers la salle à manger et le salon. Nous riions. Nous tournions. Les voisins voyaient-ils nos folies par la fenêtre. Aucune importance. La chanson se termina et je leur tapotai les fesses en leur disant d'aller prendre leur bain.


Elles montèrent l'escalier en riant fort, essoufflées. Je retournai à mes affaires. L'instant d'après, pendant que je fouillais dans la paperasse de mon attaché-case, j'entendis la plus jeune dire à sa soeur :

- Caitlin, on a la plus bonne des mamans, hein ?


Je figeai sur place. Dans ma hâte, j'étais passée à deux cheveux de manquer ce moment. Je songeai aux distinctions et aux diplômes qui couvraient les murs de mon bureau. Aucune distinction, aucune réalisation ne pouvaient se comparer à celle-ci :  «On a la plus bonne des mamans, hein ?»


Ma fille avait quatre ans lorsqu'elle prononça ces mots. Je ne m'attends pas à ce qu'elle les dise encore à l'âge de quatorze ans. Mais à cinquante ans, lorsqu'elle se penchera sur mon cercueil pour faire ses adieux à l'enveloppe libérée de mon âme, je veux qu'elle les dise encore.


«On avait le plus bonne des mamans, hein ?»


Cette phrase ne figure pas dans mon curriculum vitae, mais je veux qu'elle soit gravée sur ma pierre tombale.


Auteur : Gina Barrett Schlesinger

 

"Le travail peut attendre pendant que vous montrez à l'enfant l'arc-en-ciel,  mais l'arc-en-ciel n'attendra pas que vous ayez terminé votre travail." Patricia Clafford


Un homme tomba dans un trou et se fit très mal...


Un Cartésien se pencha et lui dit : « Vous n'êtes pas rationnel, vous auriez dû voir ce trou ».

Un spiritualiste le vit et dit : « Vous avez dû commettre quelque péché».

Un bouddhiste le vit et dit : « C'est votre karma, je compatis».

Un scientifique calcula la profondeur du trou.

Un journaliste l'interviewa sur ses douleurs.

Un yogi lui dit : « Ce trou est seulement dans ta tête, comme ta douleur ».

Un médecin lui lança deux comprimés d'aspirine.

Une infirmière s'assit sur le bord et pleura avec lui.

Un thérapeute l'incita à trouver les raisons pour lesquelles ses parents le préparèrent à tomber dans le trou.

Une pratiquante de la pensée positive l'exhorta : « Quand on veut, on peut ! »

Un optimiste lui dit : « Vous avez de la chance : vous auriez pu vous casser une jambe ».

Un pessimiste ajouta : « Et ça risque d'empirer ».

Puis un enfant passa et lui tendit la main...